Le tgr
Pour une PVA optimale
Généralement, la PVA (Production à Valeur Ajoutée) n'est pas parfaitement constante sur les 40 heures entières de travail. Un certain nombre d'événements peuvent se produire au cours de la production ne permettant pas une PVA parfaite.
Parmi ces évènements, les «arrêts planifiés» peuvent se produire en raison d'un manque de commande, pour le respect des pauses (planifiées ou non), pour la maintenance et les essais d'équipements.
Ensuite, peuvent survenir des «pertes par arrêt» (temps brut de fonctionnement) causées par des pannes ou bris de machines, par des réglages pour changement (temps de setup, par exemple pour lancer la production d'un nouveau type de produit), par la nécessité d'ajustement de machines ou de main-d'oeuvre.
Dans le cadre des temps nets de fonctionnement, les ralentissements sont représentés par des «passages à vide» et des «mico-arrêts» et des «vitesses réduites comparativement à la vitesse théorique» .
Pour leur part, les temps utiles de fonctionnement concernent les reprises et les rebuts lorsque certains produits ne répondent pas aux critères de qualités fixés (voilà un indicateur important pour le calcul du % de perte et de rebus: maximum de 1 à 2 %), et enfin les pertes au démarrage.
Une fois tous ces évènements décelés, il faut ensuite soustraire leur durée du quart de travail de 40 heures initial pour obtenir le «temps utile de fonctionnement».
TRG et indicateurs de performance
Au total, voilà tout ce que couvre le TRG. Chacun de ces évènements doit donc être saisi individuellement puis calculé avec des quantités et des qualités pour y appliquer des indicateurs en prévision de leur