Le survenant
Argument principal 1 :
Thèse : Oui, il est vrai d’affirmer que dans Le Survenant le bonheur réside dans le nomadisme.
Argument : Dans Le Survenant, le nomadisme représente tout un monde de liberté dans une vie.
Sous argument 1 : Dans Le Survenant, le survenant est libre de choisir s’il reste sur place ou s’il sans va du Chenal du Moine. Donc, il est libre de choisir s’il part ou s’il reste.
Sous argument 2 : La vie de nomadisme du Survenant lui permet de vivre sa vie sans grande responsabilité. Puisqu’il peut partir, il n’a pas toujours sur le dos de faire la récolte d’une saison ou de couper du bois pour l’hiver, à la place il s’en va au grès du temps et se fait accueillir chez du monde.
Sous argument 3 : La famille du père Didace et Angélina sont en admiration devant lui et toute l’expérience qu’il a acquise en étant un nomade.
Argument principal 2
Arguments 2 : Le nomadisme permet au survenant d’être le maître de sa vie.
Argument 2.1 : Le fait que le survenant soit nomade lui permet de rester là ou il veut quand il le veut, ce qui le rend heureux.
Argument 2.2 : Le survenant recherche intensivement de nouvelles expériences donc, le nomadisme lui permet de faire ses recherches.
Arguments 2.3 : Le nomadisme lui permet d’avoir aucune sorte d’attachement donc, il ne peut pas avoir le cœur brisé.
Étape 2 : Rédaction
Pour commencer, le nomadisme représente tout un monde de liberté pour le survenant. Dans sa vie, le survenant est libre de choisir s’il reste sur place ou s’il s’en va du Chenal du Moine. Dans le livre, le survenant arrive chez les Beauchemin un soir d’automne et demande s’il peut y passer la nuit : « Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient ; à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger. » (p.19) Il peut y passer une nuit ou plus longtemps mais quand il partira se sera