Le sujst va plus loin
Pour Marx, le capitalisme oppose une grande masse d’individus, les ouvriers, à une petite poignée d’exploiteurs, les capitalistes. Inévitablement, en raison des crises qui accompagnent le capitalisme, le système est appelé à se détruire. Le capitalisme, en tant que système ou structure, ne peut se transformer en son contraire sans l’intervention du sujet. L’on s’intéresse à savoir si le syndicaliste ou le socialiste serait le contraire du capitalisme. Aussi, le syndicaliste ou le socialiste, le quel est du coté du système, lequel est du coté du sujet tel posé dans un article du Monde Diplomatique ?quelle est la caractéristique de l’un ou de l’autre à s’arranger soit du coté du système soit du coté du sujet ? Nous allons relever dans le dit article des extraits de discours montrant que le syndicalisme est du coté du système contrairement au socialisme.
La période des années 1912-1914 et même après, c’est le sacre du capitalisme quoique en face de la doctrine naissance et saillante du socialisme. Le capitalisme en tant que système est assis sur des bases solides mais non inébranlables depuis la révolution industrielles.
Comme le montre l’article, le système en place est insatisfaisant. L’inquiétude du William à la multiplication de grèves aux Etats-Unis par les ouvriers en est une preuve. Parmi l’une des bases du capitalisme, le syndicat a pour fonction d’accroitre la part de production qui doit être réservées aux travailleurs d’après la question de M. Hillquit et la franche réponse affirmative de Gompers. Or, même quand l’accroissement de la part de production qui doit être réservée aux travailleurs atteigne l’objectif du syndicat, cela ne sera qu’une force de plus dans la consolidation du système. Les différentes réponses de M. Gompers prouvent