Le sermon du mauvais riche de bossuet
Rédaction :
Après que Vanina Vanini ait dansé le menuet avec tout les prétendants tentant de la charmer, c’est un par un, ayant dansé au milieu de toutes cette populaces nobles et d’avoir fait la cour à ces dames pour les cavaliers et charmer ces messieurs pour les dames. Que toute la noblesse empesée présente au fabuleux bal de M. le Duc de B*** décidâmes que l’heure était venu de mettre fin à ce bal sans précédent et de retourner a leur chevet.
Ce n’est qu’a son réveil, que Vanina couché au centre de la pièce qui lui faisait guise de chambre, au centre d’une pièce qui ne faisait que prouvait la noblesse dans laquelle elle vivait. Fille d’un Prince, elle était couché dans un lit à baldaquin fait entièrement en bois de rose, a son chevet se trouvé une commode d’ébène ainsi qu’une coiffeuse qui possédait le nécessaire de toilettes. Un sol de parquet encerclé la pièce, qui se remplissait de tapis d’orient. Des lustres couverts de diamant, de porcelaine et de fines poignets d’or pendait des plafonds, et ne laissait place à aucune simplicité.
Malgré tout ce luxe, cette jeune fille, Vanina depuis le bal de la veille ne songé point à un des riches souverains allemands, ou à ce beau Don Livio. Mais à un autre homme, celui qu’elle admirait non pas pour sa beauté ou sa richesse mais pour le simple faits qu’il ne s’était pas juste contenter de naitre.
Ce jeune Carbonaro, qui la veille même avait su s’évader de prison et échappé au Sbires. Pendant qu’elle se faisait courtisé par les nobles du bal, et qu’elle se vu obligé de leur offrir une danse, Vanina ne pouvait arrêtait de sentir en elle ce sentiment de volonté de liberté, elle qui était élu reines de touts les bals où elle était invité, grâce à ses cheveux d’ébène ou a ses yeux de feux qui ensorcelait les cœurs de touts les hommes n’étant pas marier.
Ne voulait qu’une chose, d’avoir une vie aventureuse là ou elle aurait de belles choses à raconter, sa passion pour la lecture lui faisait