De 1791 à 1795, les sans-culottes jouent un rôle important dans la Révolution. Bien organisés, ils sont présent dans les assemblées des 48 sections parisiennes et dans les clubs. A plusieurs reprises ils ont réussi à infléchir le cours de l'histoire. Dans un premier temps nous étudierons un paragraphe sur se que veulent les sans-culottes et dans un second temps nous verrons comment est-ce qu'ils agissent.

Les sans-culottes sont des gens du peuple parisien révolutionnaire à qui l'on donne ce nom à cause de leur tenue. Effectivement ces révolutionnaire portent des vêtements particuliers qui permettent de les reconnaître. Ils portent un bonnet phrygien, la cocarde tricolore, le pantalon a bure rayée et la pique révolutionnaire Les sans-culottes veulent plus que la révolution politique, ils veulent une égalité simple et fraternel. L'égalité politique, la fin de la vie chère, lutter contre les prêtres catholique réfractaire (qui ont refusé le serment de fidélité à la Révolution) et lutter contre les souverains européens (qui veulent anéantir la Révolution).

Pour se faire entendre, ceux-ci se réunissent dans leurs sections de quartiers et dans les clubs les plus démocratiques . Là, ils revendiquent, discutent, rédigent des pétitions, des sections présentées aux représentants du peuple jusque dans la salle de réunion de l'Assemblée législative ; il y eut ainsi une succession de pétitions réclamant l'arrestation des chefs girondins avant l'insurrection. S'ils ont l'impression que les hommes politiques ne les écoutent pas, ils prennent les armes et participent à des insurrections. Au printemps de 1793, alors que sévit la disette, ils proposent des mesures radicales : taxation des prix, réglementation du commerce, lutte contre les accapareurs. Ils réclament en même temps le droit à l'instruction, le gouvernement révolutionnaire aura d'ailleurs d'autres tâches que de satisfaire toutes ces aspirations. Après Thermidor, le rôle politique des sans-culottes