Gestion bancaire : gestion des risques ? Qu’est ce que le risque ? Une incertitude ? Généralement, on définit le risque comme un aléa susceptible de compromettre la réalisation des objectifs d’une organisation. De la perte liée à un incident, on passe à à la faillite. Le cas ENRON est illustrant avec la bankroute du Cabinet Arthur Andersen. Les coûts de faillite constituent un pourcentage croissant du PIB. D’autres pertes sont attribuées à des contrats dérivés. Contrats dérivés étant des contrats utilisés par les gestionnaires pour gérer les risques. ; les contrats à terme, le taux de change. Des concepts nouveaux concernant le risque bancaire font légion. On parle de Market makers qui sont des intermédiaires mais n’ayant pas le même droit. Quant aux dealers, ils achètent et vendent sur le marché. Les Brokers perçoivent des commissions. Il convient de rappeler que le 1er contrat financier bancaire remonte à la Grèce antique. Le risque est lié à un monde des affaires de plus en plus turbulent ; un problème de niveau de risque (haut) et de variabilité. On a l’impression que ça varie dans le même sens. Le risque peut être dit absolu ; là on observe des mouvements. Mais si notre référence (0.001 – 0.00001), on a une petite échelle ; le risque est dit relatif. Les banques gèrent parfois des produits dérivés c'est-à-dire des contrats financiers pour maîtriser le risque. Traditionnellement les banques gèrent Les risques de crédits. Ce sont les risques attachés à tous les mécanismes des contrats a) le risque de défaut : si la personne fait défaut, est ce qu’on peut trouver la même chose ailleurs ? b) le « credit Risk » : il y a des signes précurseurs du risque (risque de règlement de fournisseurs). Les événements de crédit c'est-à-dire un ensemble d’événements qui font changer la confiance sur une personne (changer de points sur le risque de défaut) : obligations russes (1998) c) market-to-market value Tous les risques à part « défaut » et « crédit » sont considérés comme