Le Rapport de Brodeck : Les Animaux
François francoisbourdiol16@gmail.com
16 ans
23/07/98
Français 1m88 64KG
Milieu de terrain
saison 2012-2013 : Finaliste de la coupe de l'Hérault avec Montpellier Arceaux 1 3ème place au championnat de division 1
saison 2013-2014 : Stage de perfectionnement au Real Madrid durant 3 semaine. Entrainement de musculation opposition 11 contre 11 opposition contre les juvéniles B du centre de formation du Real Madrid. saison 2014-2015 :8éme de finale avec les U19 contre Lattes Excellence perdu (2-2 après Tir au but 4-3).
Performance Développées
Bonne lecture du jeu
Bon placement
Meilleur endurance
Meilleur solidité du corps
Meilleur solidité physique
Meilleur balle au pied
Plus rapide balle au pied
Les hommes « animalisés »
- Brodeck = le chien Brodeck. Pendant l'horreur des camps de concentration, Brodeck doit se soumettre à un comportement le plus humiliant qu'un homme puisse connaître: être considéré et traité comme un animal (page 30 « Nous devions nous tenir à quatre pattes [...] nous servant seulement de nos bouches » ou aussi « Il fallait que je fasse le beau, que je tourne sur moi-même, que j'aboie, que je tire la langue... ». Son humanité est dénié aussi lorsqu’il devient « L'homme Merde ». Son rôle est de vider les latrines et de les curer avec soin. Brodeck n'est pas le seul personnage a être animalisé:
Göbber est comparé à ses coqs (voir page 33). La Mère Pitz se voit comme un vers (voir page 55). Les hommes du camps sont traités comme des bêtes (voir page 26). Orschwir lui est comparé à son or: les porcs (voir page 50). Les yeux d'Emélia sont comme des papillons, « Wilhem Vurtenhau, un paysan à tête de lapin »...
Les animaux « humanisés ».
Dans