Le pianiste
Par la suite, les Allemands imposent aux juifs le port d'un brassard orné de l'étoile de David et les enferment dans un ghetto que l'on pourrait apparenter à une cage où les juifs seraient des animaux totalement privé de libertés sauf celle de se faire tuer à un coin de rue sans aucun motif.
Alors que les Allemands laissent mourir de faim et de maladie les juifs, la cruauté allemande prend encore de l'essor avec la création des camps de concentration, les trop fameux "camps de la mort" où 500 000 juifs seront finalement déportés. Pendant ce temps, W.S assiste impuissant au rétrécissement du ghetto au fur et à mesure que ses habitants sont déportés voire tués sommairement.
W.S fait preuve d'un courage incroyable lorsqu'il se retrouve séparé de ce qu'il a de plus cher au monde à savoir sa famille. Il est confronté à l'isolement et doit se débrouiller par ses propres moyens pour survivre alors que la mort le guette à chaque coin de rue. Il a trouvé la force de survivre au cours de toutes ces années et ces efforts sont récompensés lorsque l'Allemagne capitule en 1945, le libérant ainsi de l'occupant mais pas de ses souffrances toujours profondes.
En toute fin de roman, je tiens à signaler le court écrit de Wilm Hosenfeld (officier Allemand de la Wehrmart) qui a épargné W.S en pleine ocupation.