Le nomadisme dans le survenant
Thèse défendue : Oui, il est vrai d’affirmer que, dans le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.
Argument principal 1
Argument 1 : Le mode de vie nomade représente un grand monde de grande liberté de faire ses choix et un monde rempli de toutes sortes de connaissances.
Sous-argument 1.1 : Le Survenant est libre de choisir où et quand il s’arrête pour vivre dans une famille qui vit de façon sédentaire.
Justification : Dans le texte de Germaine Guèvremont, le Survenant arrive chez les Beauchemin un beau jour d’automne et demande si il peut y passer l’hiver.
Illustration : «Un soir d’automne, au Chenal du Moine, comme les Beauchemin s’apprêtaient à souper, des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille qui demandait à manger». Page, 19.
Sous-argument 1.2 : Les gens du Chenal du Moine sont en admiration avec les nombreuses expériences et connaissances que le Survenant a apprises sur la route.
Justification : Dans le texte de Germaine Guèvremont, tout les gens du Chenal du Moine, impressionnés par le Survenant, cet homme aux multiples métiers et aux multiples connaissances, se déplacent pour l’écouter raconter ces histoires de la route et pour l’écouter jouer de la musique.
Illustration : «Curieux d’entendre ce que le Survenant pouvait raconter du vaste monde, les gens du Chenal accouraient chez les Beauchemin». Page, 51. «
Sous-argument 1.3 : Le nomadisme permet au Survenant de vivre au rythme des saisons. Autrement dit, comme bon lui semble.
Justification : Dans le texte de Germaine Guèvremont, le Survenant, ne sais pas combien de temps il restera chez les Beauchemin. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il restera le temps qu’il faudra : probablement tout l’hiver.
Illustration : «Faites comme moi. J’aime la place. Si vous voulez me donner à coucher, à manger et un tant soit peu de tabac par-dessus le marché, je resterai. Je vous demande rien de plus. Je vous servirai d’engagé et