Le nom de la rose

Le nom de la rose est un film de Jean-Jacques Annaud sortie le 17 décembre1986. Pour réaliser ce film, il prendra appui sur le roman écrit par Umberto Eco et demandera de l’aide à des historiens afin que le film puisse, non seulement être une fiction, mais aussi un documentaire retraçant le vie des gens au moyen-âge.
Nous allons essayer, à travers cette synthèse de répondre à la problématique suivante, comment Jean-Jacques Annaud réussit il à utiliser des éléments de l’histoire dans le cadre d’une fiction ?
L’histoire se passe en 1327 dans une abbaye bénédictine situé au Sud de la France.
Guillaume de Baskerville et son jeune novice Atso se rendent en ces lieux pour assister à une réunion entre les franciscains et les représentants du pape, afin de débattre sur les richesses ou la pauvreté du Christ.
Mais dés son arrivé l’Abbé demande à Guillaume d’enquêter sur une série de meurtres étranges qui selon lui, seraient commis par le malin.
Peu à peut l’enquête progresse mais les meurtres ne laisse plus de place pour le temps, en désespoir de cause l’Abbé fait appel à Bernard Gui un inquisiteur qui à déjà fait face à Guillaume par le passé et qui est connu pour sa grande cruauté.
Toute l’intrigue du film tournera autour d’un livre mystérieux écrit par Aristote, traitant de la comédie et du rire, un sujet qui serait jugé tellement blasphématoire pour cette époque, que l’on serait près à tuer pour lui…
Un livre censé être, disparu …
Le film est construit à la manière d’un polard, Jean-Jacques Annaud qui prendra appuie sur l’ouvrage d‘Umberto Eco, introduira à l’intérieur de l’enquête diverses informations sur la vie monacal du moyen-âge, il opposera parfaitement l’obscurantisme, la liberté du savoir, et la philosophie. A commencer par le fameux livre d’Aristote qui sera l’élément déclencheur, le réalisateur utilisera toutes les connaissances possibles qui tourne autour de l’écritures des manuscrits pour nous faire un mini