Le maternel et le féminin
Assignerait au sujet son statut existentiel : moral et social de félinité.
Identité féminine diff de celle masculine qui ne se construirait pas puisque pas cette expérience d’enfantement.
Pourrait on soutenir l’idée que le masculin serait passif et que seule la féminité serait construite ?
En quoi est ce une expérience cruciale ? si cruciale que reste t il du masculin ?
Maternel impliquerait le féminin. Alors féminin se définirait comme une identité construite a partir d’une exp individuelle et sexuellement universelle qui est le maternel.
Pbtique : cette exp du maternel est tellement cruciale qu’elle pourrait faire passer un sujet d’un manque d’identité ou identité a part entière ?
Féminin est bien un genre qui se caractérise de fait mais maternel pas = maternité. Le maternel est une disposition à l’enfantement.
Le féminin n’est pas déterminé par le fait de choisir d’engendrer un enfant mais potentialité d’ordre physiologique.
Somme nous libre d’assumer notre identité sexuelle ?
D’autre part, ne pas considérer le féminin en lui même mais à l’aune du maternel.
Considérer l’idée commune qui deter ce rapport entre maternel et féminin : maternel définit le corps féminin.
Cette appartenance corporel, n’est elle pas, loi d’un privilège, un enfermement ?
Interroger ici le propre du maternel. Maternel est aussi cette condition par laquelle l’autre est inaliénable ment en nous.
Est ce qu’on ne privilégie pas l’enfant à tout autre ?
I) le maternel, qui n’est pas la maternité effective est la puissance ou la disposition à engendrer qui définit la féminité par le corps. Car contrairement au corps masculin, le corps féminin ne se limite pas à n’être qu’un corps des lors qu’il peut en engendrer un autre.
Cette féminité corporelle est prometteuse ou créatrice et de ce fait, le féminin se distingue radicalement du masculin dans la mesure où le corps masculin va irrémédiablement à la mort tandis que le corps féminin va à la