Le marché doit-il gagner en flexibilité?
20 /11/14
Économie
Sujet : Le marché du travail doit-il gagner en flexibilité ?
Un ralentissement de la croissance économique dut à la crise de 2008 et une augmentation du taux de chômage nous conduis à nous questionner sur la rigidité du marché du travail. Un retour de la croissance faciliterait les créations d'emploi et la réduction du chômage conjoncturel.
La flexibilité du marché du travail correspond à la capacité à s'adapter de manière qualitative et quantitative.
Le chômage désigne la situation d'un actif sans emploi, disponible et recherchant activement un emploi.
Cette flexibilité est-elle favorable au marché du travail ? Est-elle nécessaire ?
I) Les emplois typiques et atypiques
Les emplois typiques sont les CDI, les temps pleins, les emplois qui assure la stabilité contrairement aux emplois atypiques qui eux sont des CDD, à temps partiel, saisonnier, contrat d'apprentissage : emploie précaire. L'emploi « atypique » se définit par défaut : il s'agit d'un emploi ne correspondant pas à la norme habituelle du travail à temps plein et à durée indéterminée. On peut donc recenser toutes sortes de situations : les contrats à durée déterminée (CDD), les intérims, le travail à temps partiel subi, les stages, etc. Ces emplois concernent de plus en plus de personnes, puisque 6 % des salariés sont aujourd'hui à temps partiel subi (notamment des femmes)
II) La flexibilité du travail est-elle un outil pour la croissance ?
La flexibilité du travail peut donc être utilisée comme un outil pour la croissance et le travail. Par conséquent, cela pourrait ajuster la quantité de travail aux besoins réels des entreprises donc de gagner en productivité, et en compétitivité. Ainsi, avec le temps, ces modifications permettraient de mieux rentabiliser les équipements et les investissements. On peut donc en déduire que la flexibilité peut permettre d'enrichir la croissance et emploi et d'accélérer les créations d'emploi en phase de