Le marché des cosmétiques en argentine
Quotidiennement, de multiples décisions sont prises pas les différents acteurs de l’organisation. Les décisions prises par les dirigeants doivent servir les objectifs et les stratégies. Chaque décision tient compte : Des caractéristiques de l’organisation (grande ou petite) ; De la technologie ; Des contraintes légales ; De l’évolution du marché ; Des contraintes sociales (harcèlement moral, suicide). On peut classer les décisions en fonction de leur objet et on trouve ainsi des décisions stratégiques, des décisions tactiques qui sont plus administratives, des décisions opérationnelles, des décisions de planification, des décisions programmables (celles qui vont se répéter), des décisions non-programmables (ex : tournées de commerciaux).
2 – Les modèles de décision
D’après les modèles classiques, toutes les décisions prises sont dites rationnelles. La logique pour des entrepreneurs est la maximisation du profit. En réalité, les théoriciens de la décision ont montré au sein des organisations que les décisions sont loin d’être rationnelles en raison d’une information imparfaite, de la personnalité du dirigeant et de l’objectif personnel du dirigeant. La cohérence des décisions est marquée selon Simon par les profils psychologiques du décideur. Dans les grandes entreprises, les décisions ne reposent pas sur une seule personne et le fait de prendre une décision à plusieurs va dépendre d’établissement de consensus qui enlève souvent beaucoup de rationalité aux décisions (ex : Airbus). Ainsi, trois modèles de comportements décisionnels de l’organisation ont été mis en évidence : La multiplicité des objectifs : chaque décideur doit mettre en œuvre des techniques de résolution des conflits d’objectifs. La réduction d’incertitudes : toute entreprise cherche à éviter l’incertitude et le risque et a donc tendance à privilégier le management opérationnel alors qu’il faudrait une