De 1948 à 1991, l'Afrique de Sud a connu un régime de ségrégation raciale visant les noirs, blanc, métis et indiens : l'apartheid. Il résulte de ce régime encore de nos jours une ségrégation socio-spatiale toujours présente, comme par exemple le manque considérable d'accès à l'eau dans certains Township, les quartiers noirs Africains, entrainant de graves tensions lors de manifestations par exemple, ce qu'illustre le document 1 page 102.

Cependant, l'État a mis en place de nouvelles politiques qui visent à une amélioration de l'accès à l'eau : 6000 litres d'eau sont offerts à chaque famille par mois, ce qui représente une aide financière considérable pour les familles Africaines : « ..................................................................................................................................». De plus, des aménagement on été conçus afin d'augmenter l'accés à l'eau dans les Township : « ......................................................................................................................................................». Pour finir, dans la constitution Africaine de 1996, l'eau est enfin considérée comme un droit pour les Africains : « .............................................................................................
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Mais toutes ces améliorations sont encore insuffisantes. En effet, le pays est en croissance démographique, les 6000 litres d'eau gratuits par mois deviennent donc vite insuffisants : « ..................................................................................................................». Vient s'ajouter à cela l'augmentation du prix de l'eau à cause de la privatisation de la ressource. Les tensions sociales sont inévitables.
Bien que les bornes d'accès à l'eau dans les quartiers noirs se soient multipliée, celle-ci ont un accès très sécurisé et réglementé : présence de barbelé ... Les inégalités au niveau de l'accès à la ressource