Le malade imaginaire
a au devant des désirs d’Argan.
4) Béralde va dans le sens de Toinette
(l.119)« Voilà un médecin qui paraît fort habile »( détourner Argan
(l.121)« Tous les grands médecins sont comme cela »( détourne Argan de la médecine
5) La comédie atteint son but
(l.111)« Cela n’est pas pressé »( pour la 1ère fois, Argan est réticent a une prescription médicale. (l.120)« il va un peu bien vite »( oxymore qui traduit le désarroi de Argan devant les prescriptions du médecin, comme s’il n’était plus aussi malade.
Phrases nominales qui expriment le désarroi d’Argan devant le charlatanisme (l.122)« me couper un bras, me crever un œil ».
(l.123)« J’aime bien mieux qu’il ne se porte pas si bien »( Argan reconnaît que les remèdes peuvent être pire que les maux.
Conclusion : Cette comédie caricaturale de la médecines réussit à détourner Argan des médecins alors que les railleries de Toinette et le bon sens de Béralde n’avaient pu y parvenir.
II/ La satire de la médecine
1) Prétentieux
Termes hyperboliques (l.5)« illustre », (l.23)« grands et beaux », (l.22)« dignes »( prétention
Ridicule, volonté d’impressionner le patient.
Utilisation d’un langage médical, mépris des maladies et des maux ordinaires : « bagatelle », « fatras », « fiévrotte »( les malades servent seulement à mettre en valeur une maladie et le médecin.
Oxymores comiques et cyniques : « bonnes pestes »( prétention ridicule des médecins.
« Que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins »( gradation et vœu paradoxal
« c’est là que je me plais, c’est là que je triomphe »( but uniquement personnel : gloire et non guérison du malade.
Se vante de connaître de grands médecins. Il traite ses confrères d’ignorants, ceci renforcé par le comique de répétition( concurrence entre eux.
2) Incompétence
« Il dise que c’est du foie et d’autres de la rate »(dénonce l’incompétence des médecins.
3) Charlatanisme