Le liseur de bernard schlick
On voit bien qu’il y a quelque chose mais il est impossible de savoir que la raison est qu’elle est incapable de lire parce que c’est subtil. La même subtilité qu’on retrouve dans le livre quand Michaël lui écrit un message disant qu’il partait pour quelques instants mais qu’il reviendrait dans pas longtemps. Elle est fâcher à son retour qu’il fut partit sans lui dire et dit ne pas avoir vu de mot, mais on suppose qu’elle la jeté pour faire semblant de ne pas l’avoir lu puisque, nous allons découvrir plus tard dans le film et le livre, elle est analphabète.
Deuxièmement, l’attitude rude et machinal de Hanna est la même dans les deux cas. Au premier abord, on voit en elle une femme qui travaille sans cesse et qui n’a aucun sentiment. Sa façon de marcher, sa façon de parler ainsi que tous les gestes du quotidien paraissent fade et terne chez elle.
3. Dans chaque cas, la pendaison d’Hanna est bien présente.
4. « Inutile d’aller chercher un expert. Je reconnais que c’est moi qui ai écrit le rapport.» ( l. 9-10, p. 146)
5. Le fait qu’il ne fait que lire lorsqu’il s’enregistre.
Dans le cas des différences, il y en a aussi plusieurs. Premièrement, on voit chez Hanna un changement de comportement assez vite. Dès les premières rencontres, elle montre une joie de vivre à quelques moments qui manque au film : « Elle me vit et eut d’abord un petit gloussement retenu,