Le horla
Introduction
Par cette nouvelle fantastique, Guy de Maupassant utilise fréquemment le contact. Par la vue principalement, puis il nous fait réfléchir, pensé plus profondément.
Durant l'histoire, le narrateur personnage se met à la place d'une victime. Il va être impuissant face au Horla qui veut le contrôler! Jusqu'ici le personnage fut tranquille, puis ici il se sens mal, se qui lui amène à changer de comportement, il devient plus pensif.
Développement
Il s'ouvre en parlant concrètement, il dit clairement se qu'il a « fièvre » : une souffrance moral « souffrant...triste ».
Par des antithèses qui se suivent il change d'état, passe de positif à négatif « gaieté...désolé ; envie de chanter...malheur ; confiance...détresse ; découragement...bonheur » (cf. ~lignes 4 à 17)
Il tente de comprendre se qu'il peut bien avoir, pourquoi se malaise presque angoissant par le moyen de phrases interrogatives. Il a une certaine insuffisance d'explication sur l'état particulier inexpliqué, on peut le voir par les signes d'interrogations : « D'où...Pourquoi ?...Est-ce... » (lignes 4, 10, 13...).
Son questionnement le trouble, il l'amène à des hypothèses : les influences mystérieuses auquel l'homme na pas accès pour les comprendre. C'est tout se qui n'a jamais pu être expliqué, compris, senti à cause de notre misérable condition d'homme qui n'a pas tout.
Ce mystère est pointé du doigt par un champ lexical le l'inconnu qui renforce les idées du personnages : le champ lexical du mystère « influences mystérieuses ; surprenant ; invisible ; inconnaissables Puissances ; miracles ; mystérieux ; l'invisible ; métamorphose ».
Il va opter pour un parallélisme en comparant deux éléments (ici verbes) plus ou moins identiques rassemblé, mis ensemble pour observer leur petites différences, en parallèle (au même niveau).
Comme « toucher » : un contact simple (découverte, recherche plutôt positive) et « palper » utilisé par un docteur qui recherche