Le français et les langues régionales dans la constitution de 1958
A) La langue française : reflet de l’unité national inspiré par la constitution de 1958
Depuis la révision constitutionnelle du 25 juin 1992, l’article 2 de la constitution de 1958 déclare que la langue de la république est le français. Il y a donc qu’une seule langue officielle ; cette unicité de la langue renvoi à l’unicité de l’état (la république) qui renvoi à l’unicité de la nation
B) Les langues régionales : diversité d’une nation formée par la constitution de 1958
Cependant on sait qu’il existe des langues régionales qui sont reconnus par la loi, depuis 1951, elles sont enseigné et font l’objet d’une épreuve de bac (facultative). Mais jusqu’en 2008, ces normes n’avaient pas d’existence dans la constitution, on fait pression pour que l’on reconnaisse à coté du français en 2008, ces langues régionales.
D’abord que leur droit, l’ordre des articles, l’insertion de ces langues dans la constitution n’est pas écrite au même endroit que la langue française. On va placer ces langues régionales dans l’article 75 qui parle des collectivités territoriales : on dit que ces langues font partie du patrimoine français (valeur culturelle mais non politique à cette reconnaissance de cette langue comme langue officiel)
Il n'y a pas de contradiction entre la promotion des langues régionales et les principes de la République, que l'unité de celle-ci doit se concilier avec une pluralité culturelle qu'elle a le devoir de défendre et de protéger.
II) La place des langues dans la constitution
A) La place du français dans la constitution
L’article de la constitution dit que la langue française est celle de la république, donc de l’état. Le CC va en tiré une conséquence le 29 juillet 1994 : selon le CC il faut distinguer la sphère publique et politique qui parle français en vertu de la Constitution et la sphère privé qui relève de la liberté individuelle où on parle la langue que l’on veut. Seuls les textes