le déclencheur de l'inevitable
Dans ce livre Gilbert nous dit qu’une souffrance peut être un déclencheur de nos défenses qui sont capable d’influencer sur nos émotions d’une manière imprévisible.
Par exemple, nous avons l’exemple de : POURQUOI PARDONNONS NOUS PLUS FACILEMENT A SES FRERES ET SŒUR CE QU’ON NE TOLERERAIT PAS D’UN AMI ?
OU
POURQUOI NE SOMMES NOUS PAS TROUBES QUAND UN PRESIDENT COMMET UN ACT QUI NOUS AURAIT FAIT VOTER CONTRE LUI AVANT L’ECLECTION ?
OU ENCORE
PORUQUOI FERMONS NOUS LES YEUX SUR LES ARRIVEES TARDIVES D’UN EMPLOYE ALORS QU’ON REFUSE D’ENGAGER QUELQU’UN QUI ARRIVE DEUX MINUTES EN RETARD A UN ENTRETIENT D’EMBAUCHE ?
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Il y a deux réponses possibles :
1. C’est la première impression qui compte
2. On va chercher une vision positive des choses dont on ne peut pas se débarrasser.
Par exemple, les amitiés sont volatiles
Alors que nous ne pouvons pas changer de frères ou de sœurs, ni de présidents, ils sont là pour le meilleur comme pour le pire, et une fois là, on ne peut plus rien changé.
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Si l’expérience que nous sommes en train de vivre n’est pas celle attendue, on en cherche une autre (exemple, je n’aime pas un hôtel, je quitte donc cet hôtel) ICI on peut changer d’expérience.
Cependant des fois nous ne pouvons pas changer d’expérience et nous devons nous y contenter, et donc nous allons changer notre façon de la voir (à défaut de ne pas pouvoir changer l’expérience)
On trouve du bon au malheur quand on y est obligé et quand on ne peut rien y faire.
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1.
Il y a des circonstances inévitables qui déclenchent notre système immunitaire psychologique, mais on ne sait pas toujours les reconnaître.
Par exemple : Dans le cadre d’une expérience, nous suivons un cours de photo, chacun doit prendre environ 12 clichés. Une fois la fin du cours on leur dit qu’ils peuvent garder un de leur cliché préféré.
A un groupe, groupe de l’inévitable, on leur dit qu’une fois la photo