Le droit chemin
La première scène montre un jeune détenu qui raconte l'histoire de sa vie, toutefois, un indice montrant la tournure de l'histoire réside dans le fait que la fumée de la cigarette ne remonte pas en l'air mais plutôt retourne dans la cigarette. On voit par la suite l'histoire de l'homme, il rentre chez lui accompagné par la police, un policier lui donne de l'argent, il va se re-procurer de la drogue. Un plan de vue intéressant lorsque l'acteur est sur un pont audessus du péréphérique Parisien montrant le sens inverse des voitures, comme un retours en arrière des choses, mais un avancement dans le futur du personnage principal. La mort de Golba , le retour chez les parents, encore une scène intéressant, à l'ANPE lorsqu'il remplit son c.v à l'envers, prouvant une fois pour toute qu'il inverse le passé et le futur. On y revoit encore Golba qui travaille avec le personage principal, la rupture par la suite avec Golba et par la suite le retour à l'école de ce dernier jusqu'à sa tendre enfance dans le ventre de sa mère génétrice.
A vrai dire, pour comprendre cette histoire, j'ai du m'y reprendre à plusieurs fois, en effet, et je me suis aussi demander en quoi ce titre corréspondait à cette histoire. J'en sui venu à cette conclusion, pour ce personnage, la réussite n'est pas ce que le futur nous réserve mais plutôt nos actions déjà faite. Il a réussi, il a eu son BTS avant de tomber dans la drogue, d'avoir un travail précaire pour finir en cellule. Il a une vision optimiste de sa vie, il préfere vivre dans son passé qu'adoucir son présent.
J'ai choisi ce court métrage car il est le plus intéressant des cinqs, il a une histoire et une réflexion phylosophique à comprendre derriere ce simple