Le dictateur
Premièrement, la démocratie n’est pas un réel modèle de liberté, car il y a élection d’un très petit de députés qui décident alors à notre place. En effet, au Québec, il y a 125 élus qui siègent à l’Assemblée nationale, alors que la population est de plus de 8 millions! C’est moins que 0.002 %. De plus, les députés qui sont élus décident eux-mêmes des idées, des mesures et des lois qu’ils veulent. Le citoyen n’a plus un mot à dire sur ce que son député fait et donc il ne participe pas à la vie politique. En résumé, puisque la démocratie actuelle se définit par l’élection de quelques individus qui ont alors le pouvoir entre leurs mains, on ne peut dire qu’elle soit un réel modèle de liberté.
Certains diront que le citoyen peut encore soumettre son opinion ou exposer un problème, et qu’il peut donc participer activement à la vie politique. De plus, les députés n’ont pas un pouvoir absolu, car ils doivent faire adopter les lois qu’ils souhaitent instaurer. Enfin, que les citoyens choisissent eux-mêmes ceux qui les représentent.
Il est vrai qu’il a un droit de parole. Par contre, celui-ci n’a pas le droit de vote et donc, il ne peut que soumettre un problème. Par la suite, un député doit bien vouloir l’entendre, proposer une loi qui ne sera votée que par les membres élus. Le citoyen n’a donc pas de réel pouvoir sur les décisions qui sont rendues. Il est aussi exact de dire que le député n’a pas de pouvoir absolu. Par contre, lui et 124 personnes (dans le cas du