le dernier jours d'un condamne
Sorbonne depuis septembre 2014. J’ai une petite fille, elle s’appelle Elene, et elle
[sɔRbɔ̃] [sɛtɑ̃bR] [fi] est avec moi [tavɛk] aussi et c’est fatiguant, vraiment, parce que j’ai beaucoup à faire, j’ai beaucoup de devoirs et [ke]
[omission de de] je ne peux pas me concentrer parce qu’elle veut toujours jouer avec moi et je fais des [ne] [mɛm] [ke ɛl] nuits blanches. Donc.
Avant j’ai habité à Strasbourg, et c’était très joli, c’est une très jolie ville, et [vi] j’étais tranquille, [tRɑ̃ki] mais par contre ici, ce bruit me fatigue et je suis un peu stressée. Mais je pense que [sɛ][pRɥ] [ma] petit à
petit, je commence à habituer. Là-bas, j’ai vécu pendant trois ans, et je me souviens [vekiy][bɛ̃ɑ̃tɑ̃] très bien
que c’était le moment agréable, où j’étais enceinte, et je faisais mes études, et [ɑ̃sijɛ̃t] après, ma plus, heu, mon bonheur, on peut dire comme ça ? ma petite fille, elle est née, à [bɔnɔR]
Strasbourg, et c’était vraiment quelque chose incroyable pour moi.J’ai 27 ans. Je suis mariée et j’habite avec mon mari à Paris. J’ai commencé mes études à la ai est plutôt chuté
Sorbonne depuis septembre 2014. J’ai une petite fille, elle s’appelle Elene, et elle
[sɔRbɔ̃] [sɛtɑ̃bR] [fi] est avec moi [tavɛk] aussi et c’est fatiguant, vraiment, parce que j’ai beaucoup à faire, j’ai beaucoup de devoirs et [ke]
[omission de de] je ne peux pas me