Le crime au père boniface
Lors de la fête des fleurs à Cannes, Mme Margot et Mme Simone sont dans une voiture, la banquette remplie de fleurs. L'une se sent heureuse, comblée de joie. Alors que l'autre, ressent un besoin d'amour, de n'importe qui ou de n'importe quoi. Mais son amie ne l'entend pas de cette oreille et préfère ne pas être aimée, « plutôt que d'être aimée par un valet », dit-elle.
Puis s'engage une conversation sur l'amour que lui porta une femme de chambre, quatre ans plus tôt. Tout allait pour le mieux entre Mme Margot et son employée jusqu'au jour où un commissaire de police arriva. Il lui fit savoir qu'un dangereux criminel se cachait chez elle, sous le couvert d'un de ses employés. Stupéfaite, elle énumère ses valets, ses serviteurs, mais sans succès. Alors elle finit par désigner sa femme de chambre, mais par souci d'aller au fond des choses, sans y croire un seul instant. On fait appeler la fille. Le commissaire reconnaissant en elle l'individu recherché et l'arrête immédiatement. Il déclare même sa véritable identité : Jean-Nicolas Lecapet, condamné à mort en 1879 pour assassinat, précédé de viol. Mme Margot n'en croit pas ses oreilles, mais elle est obligée d'accepter les faits véridiques. Sur le coup, elle ne