Dissertation finale de philosophie.

SUJET: L’amour se réduit-il à des déterminations biologiques, la conception culturelle de l’amour (amour romantique) est-elle fondée?

À travers les âges et les époques, l’un des nombreux questionnements philosophiques, outre l’origine de l’humanité, demeure probablement la dynamique entre les individus qui constitue l’espèce humaine. Nous avons connues des époques de guerre puis de paix, donc de haine et d’amour social. Mais qu’est-ce qui établit justement ses sentiments qui sont, de mon point de vue si similaire? Selon moi, la conception de l’amour romantique n’est pas fondée je suis davantage en accord avec les principes de la présence de déterministes qui influerais sur notre façon d’interagir avec d’autres. Pour l’amour, je soutiens les thèses entendues aux cours de cette session comme quoi ce sentiment serait en fait uniquement l’expression du fonctionnement de notre système nerveux. Cela dit je suis consciente que certains préféreraient conserver l’illusion de l’amour fleur bleue véhiculée par la culture sociale et l’industrie Walt Disney, à ceux-là je répondrais que se qui les motive n’est pas la personne qui nous procure se sentiment, mais bien l’action gratifiante de la relation avec l’autre. Puis j’aborderais ensuite ce qui au fond n’est pas pris en compte ; le désir d’être avec un partenaire provient de l’interaction biologique des hormones et est déterminé par les critères de sélections sexuelles motivés par l’évolution de l’espèce à travers les générations. Dans un premier temps, le concept d’amour avec un grand A est imaginaire, le sentiment amoureux n’est que l’expression du fonctionnement du système nerveux. Selon la théorie d’Henri Labori, le système nerveux serait séparé en trois sections distinctes : le tronc cérébral, le système limbique et le cortex. Le tronc cérébral serait responsable des actions automatiques