Le commerce international
Dans un monde où la notion de frontière est de moins en moins existante, grâce aux progrès dans le domaine technologique. Le commerce international est plus que jamais le pilier de l’économie mondial. Seulement, si le CI profite à certaines nations, il n’en va pas de même pour toutes.
Dans ces conditions comment les pays peuvent-ils profiter des opportunités du CI tout en sachant se protéger de ces effets néfastes ?
Dans un premier temps nous aborderons les opportunités du CI, les théories qui le caractérise, puis nous verrons ces effets néfastes, ces risques et les moyens de s’en prévenir.
a) Les opportunités du CI
a) Avantages absolus et avantages comparatifs
D’après le théoricien A. Smith, le commerce international devait, pour être avantageux, se baser sur les avantages absolus des pays. En effet d’après lui si un pays possède une productivité importante pour un produit alors il devait se spécialiser dans la fabrication de ce produit et donc dans son exportation. Cependant les pays les plus développés étant souvent les plus productifs grâce à leur avancée technologiques, tout échange avec des pays peu développés serait inutile.
Ainsi donc si un pays se spécialise sur un produit pour lequel il dispose d’une grande productivité, il dispose d’avantages absolus. Cependant D. Ricardo autre théoricien, va mettre à mal cette théorie avec une nouvelle conception du CI : Les avantages comparatifs. D’après lui le CI doit être définis par des échanges réciproques et non plus par des avantages absolus. D’après lui les exportations et importations devait de faire en fonction des rapports de coûts. En effet un pays développé fabriquera à moindre coûts certains produits qui par exemple ne demanderont pas une trop grande main d’œuvre alors qu’à l’inverse un pays moins développé aura tout intérêt à se spécialiser dans des produits de manutentions où le coût de la main d’œuvre sera moins important
b) La DIT
La division internationale