Le Clézio, Désert page 75-77
- L’histoire débute et termine par le récit des Nomades fuyant la colonisation occidentale (1909-1912).
- Lalla, une enfant de ce peuple vivant dans les bidonvilles du Sahara.
- Elle vie heureuse mais doit quitter sa terre avec Hartani pour s’échapper d’un mariage forcé.
- Elle se retrouve à Marseille, enceinte d’Hartani.
- Trouve du Travail mais ne peut s’empêcher de se rappeler d’où elle vient…
- Comment Le Clézio dresse-t-il le portrait d’une enfant de la nature ?
I Une connaissance Parfaite de la nature
A) Une mémoire exceptionnelle : anaphore : "Lala connait tous les chemins" X2 comme un refrain de chant lyrique.
B) Un touché exceptionnel : hyperbole : "Elle pourrait aller partout les yeux fermés".
C) Un odorat très développé : "Elle sent l'odeur des arbres".
D) Prudente car expérimenté : méfiance du gros bourdon doré.
II Un désir permanent de la nature
A) Besoin d’apaisement « De temps à autre, elle s’arrête. Elle regarde quelque chose par terre. Ou bien elle cueille une feuille de plante grasse, elle l’écrase entre ses doigts, pour sentir l’odeur douce et poivrer de la sève. »
B) Recherche de la nature
« Quand l’insecte s’envole, elle coure derrière lui, les mains tendues, comme si elle voulait réellement l’attraper mais c’est juste pour s’amuser. »
C) Envie de découvrir, curiosité = portrait de la nature « Chaque fois qu’elle marche, il y a quelque chose de nouveau. Aujourd’hui, c’est le bourdon doré qui l’a conduite très loin. »
D) Elle va parfois trop loin « En regardant dans le sable gris avec tellement d’intention que ses yeux lui font mal. »
E) Mémoire sélective
« La chanson méditerranée: elle ne retient qu’un seul mot , méditerranée qui fait partie de la nature.
Conclusion
Jean-Marie Gustave Le Clézio nous dresse le portrait d’une enfant de la nature grâce à son besoin vital de la nature. En effet la nature ressource la jeune fille, dont la recherche de celle-ci est permanente. Le Clézio dresse