Le chat noir
Tout d’abord, la haine du narrateur face au félin est ressenti de plus en plus qu’on avance dans la nouvelle. Au début, il aime l’animal comme s’il était un ami, un compagnon. Il aimait plus cet animal que n’importe quel animal qu’il avait dans sa demeure. Seul le personnage principal nourrissait le chat. Ce dernier suivait son maître partout où il allait. Un soir, l’homme rentra chez lui très ivre et s’imagina que son animal de compagnie le fuyait. Alors il le saisi, mais l’animal le mordit et le graffigna. L’homme ne se contrôla plus et sorti un canif et enleva l’œil de l’orbite du chat et il fini par pendre le chat. Cependant, un second chat arriva dans la vie de l’homme, presque pareil que le premier. Mais, en voyant la ressemblance du chat avec le dernier, il éprouva >. (l.182-184) Puis, il voulu éviter l’animal, mais c’était impossible, car il se jeta partout où son maître allait. > (l.184). Les images du premier crime qu’il avait fait donnaient l’incapacité de malmener le second chat. Bref, la haine et la honte du premier crime envers le premier félin empêchèrent à l’homme de blesser ou de tuer le second.
Ensuite, vient la peur du narrateur face à l’animal. En effet, il a peur de la tache blanche sur le second chat, car elle ressemble à un gibet. > (l.225-226) Cette terrible machine au quelle il a tant peur est la même machine qu’il a utilisé pour tuer le premier chat. De plus, le narrateur développe une peur bleue à l’écart du chat et va même jusqu’à l’éviter. > (l.207) Pour lui, l’animal n’est plus animal, il est devenu un monstre. Bref, la terreur de l’animal occupa toujours ses pensées et l’emmena dans une sombre fin.