Le changement
Le changement, comme la mort et l'impôt, ne peut être évité. Le changement est-il nécessairement mauvais? Bien que parfois désagréable et embarrassant, le changement peut aussi être positif. Le mariage, la naissance d'un enfant et une promotion au travail sont des exemples de changement, souvent heureux, qui sont plus faciles à accepter que d'autres négatifs, tels le divorce et la mort. Bon ou mauvais, tout changement qui se produit chez une personne ou une organisation nécessite qu'on s'y adapte et qu'on s'en occupe.
Rien n'est absolument invariable, même les organisations sont appelées à changer. Qui n'a pas constaté des indices de changement comme : la fluctuation de l'effectif, l'augmentation ou la diminution du financement et la création de projets reflétant de nouveaux besoins des membres. Si l'organisation ne réagit pas au changement, elle éprouvera des difficultés et finira par disparaître.
Les organisations doivent être conscientes que des changements sont en cours et qu'elles font mieux de s'y adapter.
Forces opposées
Dans toute organisation, le changement est soumis à deux forces opposées : une, qui lui est favorable, et l'autre, qui lui résiste.
Laquelle des ces forces prédomine dans votre organisation? Vérifiez celles qui s'appliquent à votre groupe.
Forces motrices
Les forces motrices amorcent le changement et l'alimentent. Elles sont soit externes soit internes.
Le financement est réduit ou augmenté.
Les intérêts et les besoins de la communauté changent.
L'aide du gouvernement augmente ou diminue.
Des pressions vous poussent à adopter la technologie moderne.
L'effectif de l'organisation est en hausse ou en baisse.
Les membres sont divisés en ce qui concerne le but du groupe.
L'évaluation des projets ou des programmes révèle la nécessité du changement.
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Forces résistantes
Les forces résistantes s'opposent aux forces motrices du changement.
Le groupe craint les nouvelles idées et préfère maintenir les