Le cas leroux
Leroux est un groupe industriel agroalimentaire français, créé il y a 150 ans dans le département du Nord et qui regroupe aujourd’hui quatre sociétés. Le groupe est présent dans plus de 40 pays ; il est leader du marché mondial de la chicorée (selon taux de notoriété).
Son effectif (2 000 personnes) lui permet de réaliser un chiffre d’affaires de plus de 40 millions d’euros (en augmentation de 5 % en 2007), dont 35 % sont réalisés à l’international.
Olivier Hermand est le président de Finaler, la holding du groupe. 2. Quelles sont les finalités de cette entreprise ? Expliquez-les. (Réponse rédigée)
Le groupe Leroux comme toute entreprise a une finalité ou des finalités c'est-à-dire des buts ultimes, la raison d’être de son existence… Ces finalités peuvent être économiques, financières, commerciales ou sociétales.
Le groupe cherche à augmenter encore son chiffre d’affaires pour passer la barre des 50 millions d’euros. Cet objectif stratégique vise à permettre à l’entreprise d’assurer sa survie, qui semble être ici sa principale finalité. En effet, cette firme est en concurrence avec de grandes multinationales et doit donc atteindre une taille critique minimale pour faire le poids. Cette finalité économique, liée à sa place sur le marché et à sa pérennité, est prépondérante
Pour atteindre cette finalité de maintien de l’activité, elle investit également massivement dans des activités de recherche afin d’orienter son image vers la santé et le naturel. Cette démarche illustre une finalité « commerciale », liée à l’image (perçue par les clients et autres partie prenantes).
Par référence à Peter Drucker, nous voyons que le profit est bien un objectif essentiel (assurer la survie) mais que la création de valeur pour les clients, donc la