Chapitre XII
Ce douzième chapitre s'intitule "La plus-value relative"
Thème:C'est le thème de la plus-value relative par rapport à la plus-value absolue.Thème justifié par "la plus-value"(ligne 7), le "surtravail" (ligne 1 p.234)
Problème:C'est le problème de la distinction de la plus-value absolue d' avec la plus-value relative.Comment les distinguer?
Thèse:La plus-value absolue se distingue de la plus-value relative de part son temps de travail nécessaire
Arguments et exemples:Tout d'abord la production de la plus-value s'établie en fonction du travail nécessaire.Si il était constant,la journée entière était au contraire variable(lignes 8-9).On peut donc se poser la question de comment augmenter la plus value si la durée du travail par jour est fixe?La réponse qui peut alors sembler compliquer n'est que grâce à la contraction du travail nécessaire.Donc à l'inverse la prolongation du surtravail doit résulter de la contraction du travail nécessaire et non la contraction du travail nécessaire de l'expansion du surtravail.(lignes 37-39 p.234)
Pour obtenir que le surtravail s'élève de un sixième à un quatrième de la journée,et la plus-value de un shilling à un shilling six pence,il faut abaisser le salaire de l'ouvrier au-dessous de la valeur de sa force de travail.(lignes 18-22 p.234)
La plus-value absolue,qui est la plus-value produite par la simple prolongation de la journée de travail,est à distinguer de la plus-value relative,obtenue par l'abréviation du temps de travail nécessaire, c'est à dire en modifiant la proportion, dans une journée, de temps de travail nécessaire par rapport à celle du surtravail, sans augmenter la durée de cette journée de travail.(lignes 19-23 p. 235).Ainsi, seule une hausse de la productivité des travailleurs va permettre la hausse de la plus-value relative.
Le progrès entraîne un profit extra.En effet,grâce au nouveau procédé,la pièce ne coûte que neuf pence ou ne contient qu'une heure et demie de travail.(lignes 41-44