Le bonheur a la queue glissante
Le bonheur a la queue glissante
1. Que signifie le titre?
2. Au paragraphe 7, Dounia se souvient de ses premières années au Québec. Elle dit, entre autres: «Dix ans sans ciel, c’est long.» En vos propres mots, expliquez le sens de cette phrase.
3. L’adaptation au Québec a-t-elle été selon vous plus facile pour Salim qu’elle ne l’a été pour Dounia? Appuyez votre réponse en comparant l’adaptation de ces deux personnages, à l’aide d’un élément tiré de cet extrait.
4. En vous référant aux paragraphes 31 à 56, nommez deux différences culturelles relevées par Dounia.
5. Au 12e paragraphe, Dounia dit: «Elle (Kaokab) veut tout voir. Mes moindres gestes. Ce n’est quand même pas une bombe atomique, seulement des courgettes au yogourt!»
Selon vous, pourquoi est-ce important pour Kaokab d’apprendre à cuisiner des courgettes au yogourt?
6. «L’espace qu’il y a entre nous, je le vois surtout quand mes enfants sont avec leurs amis. Chaque fois, sans que j’y fasse attention, une question me revient : Celle-là qui parle, celui-là qui rit dans une langue que je ne comprends pas, est-ce bien ma fille, est-ce bien mon fils? Est-ce que je suis bien sa mère?» (9e paragraphe) Qu’est-ce qui en plus de la langue, crée cet espace entre Dounia et ses enfants?
7. Dans le paragraphe 94, Dounia cite des proverbes que son père utilisait lorsqu’elle était jeune. Que voulait-il lui faire comprendre par ces proverbes?
8. Selon vous, Dounia serait-elle aussi dépendante de son mari et de ses enfants si elle vivait avec eux dans son pays d’origine? Justifiez votre réponse en vous appuyant sur les caractéristiques du personnage.
9. En plus des proverbes, Abla Farhoud emploie d’autres procédés littéraires pour faire comprendre aux lecteurs les valeurs de Dounia. Identifiez un de ces procédés et accompagnez-le d’un exemple tiré du texte.
10A. Pour créer un effet, Abla Farhoud utilise des procédés linguistiques qui se répètent dans les