L'aveu de princesse de clèves
Premier mouvement : l 1-3 : l’émergence de la parole de la princesse sous la pression de la jalousie du prince Second : l4-9 : un aveu entre silence et dénégation Troisième : fin du texte l10-Fin : plédoyé d’une femme forte et vertueusePremier mouvement : Elle prend la parole car le prince la force à cause de sa jalousie Accentuation de la contrainte : “pressa”, “obliger” Verbe défendre = le prince lui rappel que c’est lui qui est décisionnaire mais il n’est pas dans une position si décisionnaire car il ne peut pas la forcer à agir, il n’a pas de moyen de pression La scène de l’aveu comme par un “blanc” de la part de la princesse Présence de la dimension théâtrale : yeux baissés, rythme lent puis qui s’accélère ce qui nous attire vers une attitude Cet échange existe car elle ne veut pas rentrer à la cours Temporalité est importante + jeux de regard, il conue d'insister, la parole jaille c’est donc un moment ou elle s’affirmeSecond …afficher plus de contenu…
pas de réponse ou négation Nous sommes dans un domaine religieux, PDC Tout d'abord un constat avec dénégation car après en se taisant montre qu’elle approuve alors que c’est le contraire et à ses mots elle parle et réagit Prise de parole de PDC loooongue car jusque la elle ne semblait vouloir rien dire et la elle se lâcheDernier mouvement : Elle se jette à ses genoux = ultra théâtral = penser à l’attitude de l’héroïne tragique Passage au discours direct très long et nous attendons qu’elle avoue car elle annonce un aveu mais ne le termine jamais Si elle arriver à en parler c’est parce qu’elle n’a rien à se reprocher “Je n’ai jamais laissée marque de faiblesse” elle à toujours montré qu’elle ne pouvait pas être avec lui (M de Nemours) “Je ne craindrais pas” elle craint de laisser paraître qlq chose = deux conditions pour qu'elle ne montre rien et elle montre ces raisons car la seule barrière qui la protégeait des courtisans était