L’argumentation et l’aporie dans le livre i de platon
L’argumentation et l’aporie dans le Livre I de La République de Platon En philosophie, l’aporie est un état de confusion auquel nous ne pouvons résoudre. Les effets négatifs de l’aporie sont le sentiment d’être perdu, d’égarement et d’inutilité. Être …afficher plus de contenu…
Ainsi, l’humain se remet en question et purifie de ses erreurs. Socrate est dans l’aporie, car ses conversations n’aboutirent pas à une conclusion. Les conversations du philosophe ont le but de nettoyer aux humains leur erreurs. Donc, à la fin d’une discussion, il n’y a pas de réponse, mais une remise en question. Céphale est passé par les effets bienfaiteurs de l’aporie. Après la réfutation que Socrate a donnée, Céphale donne raison au philosophe : « Tu as raison, dit-il » (p.79 p.331d). Donc, Céphale a ouvert son esprit et il s’est débarrassé de ses mauvais résonnements. Polémarque est passé par les effets bienfaiteurs de l’aporie. Pendant sa conversation avec Socrate, on peut distinguer qu’il est …afficher plus de contenu…
Socrate met en doute les pensées des personnes. À la fin, ses adversaires réalisent que leurs résonnements sont faux. Donc, ils remettent en question leurs idées. Ainsi, cette position peut créer un sentiment d’égarement de la vie réel. Lorsque cette situation se présente, les interlocuteurs n’arrivent pas à répondre à Socrate, car ils sont concentrés sur leurs doutes. Thrasymaque est le personnage qu’on devrait associer à Ménon. Dans l’extrait de Ménon, on comprend que cet individu s’énerve sur Socrate. Il a un langage agressif envers le philosophe. Il se comporte comme une personne ignorante et qu’il n’accepte pas à évoluer. Ce comportement fait rappeler à Thrasymaque. Dans les deux cas, on voit qu’il y a un échec de communication. Socrate a une attitude semblable au Socrate du Livre I. Le philosophe joue le rôle d’un ignorant. Il utilise la méthode