Lafontaine fables
Dans les Fables De La Fontaine, il y a la dimension morale philosophique qui est omniprésente dans ses écrits. La Fontaine prouve que l’expérience est plus forte que tout, c’est-à-dire qu’elle peut permettre de vaincre un adversaire étant beaucoup plus puissant. Dans « Le Chat et un vieux Rat », le vieux rat routier réussit à vaincre le Chat par son expérience. Voici un extrait montrant la force supérieure du Chat face aux Rats : « Qu’un second Rodilard, l’Alexandre des Chats,/L’Attila, le fléau des Rats ». Dans cet extrait, La Fontaine fait un appel à Alexandre le Grand, un grand personnage historique qui a conquis la Perse et il fait aussi appel à Attila, le roi des Huns qui a pris la Gaule. Il voulait alors montrer la grandeur et la force du Chat. Voici maintenant un extrait qui montre comment le vieux routier a su vaincre le Chat : « Il était expérimenté, / Et savait que la méfiance/ Est mère de la sûreté. » Dans cet extrait, le vieux rat expérimenté a vaincu le Chat par son expérience et son savoir. Voici le champ lexical du prédateur (le Chat) : « Chats, Chat exterminateur, craint, Cerbère, dépeupler, mort aux Rats, Souricières, prisonnières, mort et dommage ». Ce champ lexical montre la force supérieure du Chat face aux Rats. Ce vocabulaire a pour effet de rendre la Chat fort et sans pitié face aux Rats. De plus, La Fontaine montre qu’il ne faut pas prendre son opposant à la légère, même s’il est le plus faible d’entre tous. Dans « Le Lièvre et la Tortue », le Lièvre est très rapide et la Tortue est très lente. Le Lièvre