La princesse de clèves, commentaire
Sans qu’elle ne nous donne de nom, on comprend donc que toutes ces réactions, quelles qu’elles soient, ne sont provoquées que par la vue d’un individu, renforçant une fois de plus l’aspect superficiel de la Cour. Le lexique de la vue est poursuivi dans la phrase suivante, en effet l’expression « chercher des yeux » l’exprime pleinement. Encore une fois, elle ne cherche pas à trouver quelqu’un qui pourrait être intéressant par sa personnalité, mais quelqu’un de présentable. L’intervention du Roi qui suit, continue d’exprimer le rôle de la Cour …afficher plus de contenu…
La perfidie de la CourChaque situation semble être régit par la Cour. Le complément circonstanciel de temps « Quand ils commencèrent à danser » introduit les termes « un murmure de louange ». Tous les observent et ils le savent, car conscients des règles sociétales de la Cour ils se sont tous deux minutieusement préparés afin d’être regardés. Cependant, bien que ce soient des louanges, cela signifie qu’ils sont donc au centre de toutes les conversations et l’on retrouve ici une trace de perfidie, qui peut être quelque chose de dangereux, nuisible sans qu'il y paraisse. Si ces discussions sont initialement bienveillantes, les rumeurs courent vite. L’implication du « Roi » et des « Reines » semble presque montrer une orchestration de cette rencontre. En effet ces-derniers sont associés à la