La grande begine, la petite bete
Le renard empaille mentionne à la L5 ne fait qu’accentuer cette peur puisque la description faite par le narrateur du cadavre indique dans quel état l’animal est décédé « sa tête violemment tournée... » L5, « le corps fuyant », avec les adjectifs « violemment » et « fuyant » signifiant que l’animal Avec les adjectifs « violemment » et « effrayant » signifiant que l’animal est mort terrorisé puis empaillé pour être exposé dans la salle tout en empestant cette odeur de peur. C’est un endroit sombre et à la fois terrifiant mais aussi vieux et du dépassé comme le souligne le …afficher plus de contenu…
Elles le transportent dans ses pensées soucieuses dû à son emploi d’instituteur qu’il perçoit comme un défi au quelle il doit faire face comme le souligne le groupe nominal « affronter des élèves » appuyer par le verbe « affronter ». Le narrateur est mal à l’aise et ne reconnait plus le cadre temporel comme l’indique le groupe nominal ligne 7 « un passé indéfinie » et l’antithèse ligne 11 « ce passé me parut mon avenir ». Son malaise est d’autant plus accentué par le nom « effroi » ligne 8 mais aussi par les illusions du narrateur qui se voit enlevé par les pécheurs dans « le méchant rafiot de la vie adulte » signifiant qu’il n’est pas prêt a quitter sa jeunesse et que son emploi est le dernier pas pour mettre le pied de la vie d’adulte. Son opposition à cela est accentuée par «