La fatalité dans saint-denys garneau et Émile Nelligans
D’une part, dans celui de Saint-Denys, il évoque la fatalité d’une sorte plus discrète. Il sent que la mort arrive en nous expliquant qu’il se fait dévorer progressivement de l’intérieur par l’oiseau. Cela nous fait ressentir plusieurs sentiments tristes tels que l’abandon et la peine sans que l’auteur emploie nécessairement des mots en lien avec la mort : « Avec la vie dedans Il aura mon âme au bec ». (L.23-24) Ces citations illustrent un euphémisme, parce que ce procédé atténue sa mort. Il utilise cette figure de style à maintes reprises pour diminuer la tristesse éprouvée face à la situation. « Il se pourra s’en aller Qu’après avoir tout mangé Mon cœur » (L.19-20-21) Ceci est un nouvel extrait où il explique qu’il va perdre la vie tout en atténuant les termes employés. Ainsi, il raconte avec plus de discrétion comment cet oiseau va le tuer au lieu d’exprimer des