La comédie sociale, groupements de textes
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La comédie sociale : groupement de textes 1 : Le Misanthrope , acte I, scène 1 (1666), Molière Pour Alceste, il faut être sincère et ne prononcer que des mots qui « partent du cœur » : ceux qui agissent contrairement sont des « lâches ».Le risque principal de cette attitude est, selon lui, la confusion qui s’engendre : aucune distinction n’est plus faite entre ceux qui méritent réellement d’être admirés et appréciés ( l’honnête homme) et ceux qui sont méprisables ( le fat ). Au contraire, pour Philinte, il faut cultiver les apparences et faire preuve d’hypocrisie pour entretenir des relations cordiales en société, pour respecter « l’usage » et la « bienséance », afin de ne pas choquer et ainsi éviter les conflits. Le Tartuffe , acte I, scène 5 ( 1664-1669), Molière Question : cf photocopie ( suite de la réponse) il simule une dévotion intense par des gestes exagérés « de grands élancements », des mvts de prosternation pour « bais[er]le sol à tous moments ».Il n’agit que lorsqu’il est sous le regard de sa dupe, comme le souligne le CC de lieu « à mes yeux » v 18« Les Obsèques de la Lionne », Fables, livre VIII ( 1679), La Fontaine La Fontaine condamne l’hypocrisie qui règne à la Cour comme le soulignent les métaphores
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La femme ambitieuse pleure pour donner d’elle l’image de la veuve inconsolable, d’une personne éprouvée par la vie et le chagrin, et pour se faire remarquer par cette mise en scène.3. Simuler la tristesse permet de se donner l’air sensible et ainsi recevoir les consolations et les attentions des autres (leur compassion).4. On pleure parce que c’est « obligatoire » : il faut feindre d’avoir du chagrin face à la disparition du mort .Question synthèse