La vénus d'ille et le fantastique
Durant mon séjour chez Mr. De Peyrehorade en Roussillon, un antiquaire de province, où Prosper se rendait afin de recenser les ruines antiques de cette région, la découverte assez spécial de celui-ci, la Vénus d’Ille, cette superbe statue, va bouleverser son voyage. Mais cette beauté fatale cache bien une cruauté monstrueuse. Tous ceux qui osent défier la déesse de l’amour leur arrive malheurs, dès le début ce pauvre Jean Coll eu le malheur d’avoir la jambe complètement cassée par cette romaine. Les inscriptions sur son socle et son bras, elles aussi n’ont rien de rassurant, « Prend garde à toi si elle t’aime », une phrase à laquelle M. Alphonse aurait dût prêter grande attention avant de mettre l’anneau de sa future sur le doigt de celle-ci. Essayant de l’en enlever, il dit que la main de la statue se referma. Prosper ne croyait pas aux superstitions auparavant. Mais jusqu’ou cette monstrueuse beauté va être capable d’aller pour gâcher ce pauvre mariage ? Pourrait-elle-même aller jusqu'à tuer ?
La Biographie
P vis le jour le 28 septembre à Paris au Carré Sainte-Geneviève, près du Panthéon. Il étudia au lycée Napoléon, puis continua avec des études de droit à la Sorbonne. Il a échappé au service militaire pour « faiblesse de constitution ». Ayant eu ses examens de droit il se lance dans l’écriture d’un roman mais sans succès. Il ne baissa pas les bras. Le 27 mai 1825 paraît sa première pièce « Théâtre de Clara Gazul ». En 1827, je fis ma première rencontre avec lui, il faut avouer que c’était un grand charmeur, assez flâneur et je ne put succomber, même étant mariée! D’ailleurs un combat eu lieu quand mon mari l’apprit, Prosper finit blessé et je dus arrêter tout relation amoureuse avec lui. Nous sommes quand même restés très proche en secret. Après son long voyage en Espagne du 27 juin au 10 décembre 1830, il publia ses deux premières « Lettres d’Espagne » en 1831, année marquant aussi le début de sa carrière politique. Le 27 mai 1834, il fût