La vieillesse est l'échec de la civilisation
« Le premier fait qui soit compris dans le mot de civilisation, c'est le fait de progrès, de développement » François Guizot.
L'évolution de la civilisation est rythmée par la population mais, si la société peut évoluer indéfiniment, l'être humain, quant à lui, est contraint à mourir.
Lorsque l'homme devient âgé et inapte à œuvrer physiquement en faveur de l'évolution, il est souvent considéré comme inutile; cependant il ne faut pas oublier que sa vieillesse symbolise une expérience acquise avec le temps.
La vieillesse peut-elle être considérée comme un échec d'une civilisation qui évolue?
Pour répondre à cette question nous établirons, dans un premier temps, que la civilisation est synonyme de progrès. La civilisation évolue mais l'homme ne peut la suivre. Le deuxième axe montrera que la vieillesse est un aboutissement. L'homme murit et devient un pilier de la société.
I) La civilisation est progrès
La civilisation est en constant progrès, il est peut être temps pour l'homme devenu vieux de la quitter pour ne pas l'empêcher d'évoluer.
A) La civilisation évolue et la vieillesse peut lui barrer la route
-La vieillesse est un vestige du temps qui devient un frein à l'évolution.
-Les vieilles personnes ne s'adaptent pas toujours au progrès technique.
-Il existe une différence culturelle trop importante entres les personnes nées durant la seconde guerre mondiale et celles de « l'an 2000 » due à l'évolution des mentalités mais aussi à l'apparition des nouvelles technologies.
-Le fait que les « vieillards » ne s'intègrent pas peut entraîner leur marginalisation (maison de retraite,...)
-Au delà de la retraite les personnes perdent leur utilité.
-La civilisation et son progrès ne peuvent empêcher la fatalité de la mort. B) La jeunesse, une dynamique pour la société
-Les jeunes sont la relève, il faut leur laisser la place.
-Dans le XXIème siècle les jeunes font partie intégrante