La vie devant soi
Premièrement, la vie devant soi est avant tout une critique sociale parce que c’est une histoire de la vie ou l’auteur prend avantage de critiquer différent aspect de la vie comme tel. Roman Gary critique différent aspect de la vie en montrant une surprenante agressivité a l’égard du bonheur. Par exemple, « Les mômes qui se piquent deviennent tous habitués au bonheur et ça ne pardonne pas, vu que le bonheur est connu pour ses états de manque.» En effet, Momo ne s’en prend pas seulement à la drogue. Sa rage vient de plus loin et elle est bien plus grande, c’est au bonheur même qu’il s’attaque, à sa puissance et à sa tartuferie. Comme souvent son langage crée des glissements et de la tension : ce ne sont pas tant les drogués qui sont en manque que le bonheur lui-même qui se définit par le manque. Momo s’obstine à inverser les significations communément positives du mot bonheur et multiplies les insultes. Ordure, peau de vache, salaud. Et l’élévation de la colère s’achève dans une merde qui lui donne un coup d’arrêt. Le bonheur n’est pas un objectif pour Momo. Suite a cela, Roman Gary critique différent aspect de la vie en abordant l’injustice dans le milieu ou ce passe le roman. Donc, il met en évidence le racisme dans le roman. Le livre se passe dans un milieu qui montre comment les noirs côtoient les blancs, les arabes les juifs, et où la pauvreté a souvent