La vie chere
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Voir « épargne » sur le Wiktionnaire.
L'épargne est la partie du revenu qui n'est pas consommée. C'est la partie qui ne se détruit pas immédiatement. Dans une acception plus large, elle désigne tout comportement qui inclut un sacrifice dans l'espoir d'obtenir un meilleur rendement futur1. Toutefois, cette définition simple de l'épargne cache les discordes théoriques relatives aux déterminants de l'épargne, aux conséquences de l'épargne sur l'économie globale et aux différentes façons de mesurer l'épargne.
Sommaire [masquer]
1 Les formes de l'épargne
2 Les déterminants de l'épargne
2.1 L'approche néoclassique des déterminants de l'épargne
2.2 L'approche keynesienne des déterminants de l'épargne
3 Les conséquences du comportement d'épargne sur l'économie globale
4 Taux d'épargne
5 Citations
6 Notes et références
7 Voir aussi
7.1 Articles connexes
Les formes de l'épargne [modifier]
L'argent épargné est employé sous forme de : soit d'épargne liquide, qui reste disponible sous forme liquide (espèces, compte courant, compte rémunéré) : on parle alors de thésaurisation ; soit d'épargne investie, affectée à des placements (dans des comptes, plans, titres) : voir compte d'épargne, livret épargne, plan d'épargne, valeur mobilière, REER, CELI ou investissements (dans des moyens de production, l'immobilier, etc.).
Les déterminants de l'épargne [modifier]
La question des déterminants de l'épargne fait apparaître une différence fondamentale entre l'approche néoclassique et l'approche keynésienne des comportements économiques. Alors que pour les économistes néoclassiques, l'épargne est déterminée par le taux d'intérêt réel, pour Keynes et pour les économistes qui s'en