La Venus d'Ille de Prosper Merimée écrite en 1835 et publiée en 1837.

Le narrateur; un archéologue, dont on ne connaîtra pas le nom; se rend en compagnie d'un guide dans le Canigou pour rencontrer Mr. de Peyrehorade, un antiquaire fortuné qui doit lui montrer des ruines non loin dans la région. Durant leur chemin vers la petite ville d'Ille, le guide informera le narrateur du mariage de Alphonse, le fils de Mr. de Peyrehorade, avec Mlle de Puygarrig, une jeune fille encore plus fortunée. Il lui apprend également qu'une statue de Vénus datant probablement de l'époque romaine a récemment été découverte au pied d'un vieil olivier gelé. Il la lui décrit et insiste fortement sur le fait qu'elle a des yeux blancs et qu'elle est méchante. En effet, il conte l'histoire de sa découverte, lui même y ayant assisté, Jean Coll et lui voulaient déraciner un vieil olivier gelé de l'année passé sous l'ordre de Mr. de Peyrehorade. Quand Jean Coll donna un coup de pioche, le guide entendit un "bimm..." comme si il avait tapé sur une cloche. Ils se remirent à piocher et découvrir une main; croyant qu'il sagissait d'un mort, ils dirent à Mr. de Peyrehorade d'appeler le curé; Mr. de Peyrehorade s'approche alors et s'écrit "Un antique ! Un antique !". Il saisit la pioche et piocha faisant quasiment autant d'ouvrage que Jean Coll et lui. Une fois déterrée; ils durent se mettre à 4 pour la dresser; lorsqu'elle tomba sur Jean Coll, lui cassant une