La théorie évolutionniste
284 mots
2 pages
• La perspective évolutionniste n’est plus d’actualité dans les années 50. C’est l’idée qu’il y aurait un cheminement par étapes qui serait universel et partagé par toutes les populations du monde et donc qui les ferait passer par les même étapes du point A au point Z, le point Z serait le plus évolué. Ce passage se fait par des étapes déterminées, notamment par l’acquisition de techniques. L’intérêt pour certains anthropologues étaient donc de retracer ce cheminement pour garder une mémoire des cultures et d’autre part, l’idée était d’identifier les étapes d’évolution universel pour finalement mieux nous connaître nous même. Les anthropologues ont été très marqué par cette théorie dans les années 40 et 50 or ils retrouvent dans les discours des administrations coloniale, une vision très économiste du développement mettant en avant la croissance éco et industrielle. Ce sont les théories de la modernisation qui seront très fortes à partir de la fin des années 40. Ces théorie avaient tendance à favoriser l’idée que croissance économique voulait dire développement et que par effet de cliquet, dans les pays du Sud, il y aurait une diminution des inégalités. Ces théories vont être appliquées par des grands projets (développement agricole intensif, banque mondiale, PNUD,…) avec un accent mis sur des transferts de technologies et financier, avec une focalisation sur le développement de, l’économie. Ils ont pariés sur un phénomène de redistribution automatique (phénomène top dow). Ces théories sont très marquées par la théorie évolutionniste soit l’idée que le développement économique suivrait des étapes prédéfinies qui serait exportable et qui devrait concentrer l’aide au développement dans les pays du