C’était le 8 juin 1832, jour de marche’, choisie spécialement pour qu’il soit plus de gans pressantes possibles. A ce temps-là il était encore des gans à qui la mort des hommes plaisait. Quand tout est fini, presque tout le monde est parti chez eux. On voyait uniquement deux gans qui étaient au bout, près de Claude gueux qui était déjà guillotiné. Une des deux était son femme tout en larmes, tremblant avec une voix tranquille et misérable. L’autre était un député qui regardait avec des yeux stricts et impitoyables. Il préparait pour partir mais cette femme l’a arrêté et elle a commencé parler à la voix basse :
« -Bonjour monsieur ! J’ai quelques questions à vous poser, est que vous avez le temps maintenant? Le député a bien reconnu que c’était la femme de Claude gueux, il voulait refuser de parler avec elle mais il n’avait pas de choix.
Oui, qu’est que t’intéresse ?
Est que vous pensez qu’il est vraiment coupable ?
Qui ?
Quelle question ?! mon marie Claude gueux.
Ne pose pas des questions si ridicules, tout est déjà finis, La justice reconnaît l'accusé coupable ! votre marie il est un monstre ! en plus je m’en doute s’il est vraiment votre marie ou non. Tu ne comprends pas qu’est qu’il a fait avec toi ? regarde sur toi, t’est devenu maintenant une fille publique. Est que tu pence qu’il était innocente ?! ne parlez pas comme ça avec moi ! vous savez aussi bien que moi qu’il était juste un ouvrier habile et intelligent, attache par la nature, maltraité par l’éducation, il ne savait pas lire mais il avait un esprit extraordinaire. Il a volé à cause de son famille, à cause de moi et mes enfantes. Tout le monde aurait fait la même chose dans son situation.
Ne fais pas un ange du démon, il est un assassin et un voleur, sans doute ! il tue des gans sans savoir pour quelle raison.
Comment vous avez dites ? sans savoir pour quelle raison ? Vous savez bien qu’Albin était comme un frère pour mon cher marrie. . Albin partageait sa ration