La realite dure
On entend souvent que le nombre des enfants abandonnés augmente de plus en plus.On dit:'Les pauvres enfants,quelle triste vie doivent-ils mener!"mais on ne fait rien pour changer cette situation.On est content de critiquer les parents qui decident qu'il vaudrait mieux qu'ils abandonnent leurs enfants. Voila comment regarde un adolescent ce tableau cruel.En premier lieu,on trouve les parents qui obligent leurs enfants de mendier plus coupables que ceux qui les laissent dans un centre du placement.Les derniers donnent a moins a leurs enfants leur liberte,les autres misent aux fers leurs progenitures. Nous avons decide de prendre des interviews aux ces enfants pour savoir comment regardent-ils leurs situation,et par ou on commence si non par la station du train?Buzau n'est pas une grande ville,etant une ville dont on peut être écoeuré dès le moment où on franchit ses quais.On trouve ici des mendiants vêtus de haillons,des enfants qui vont nu-pieds.On est arêté chez une famille de bohémiens.Il y avait deux enfants-un garcon et un fille-accompagnés par leur mere.Le garcon s'appelait Patar Adrian et avait 7 ans,et la fille s'appelait Patar Piţa et elle avait 4 ans.La mere nous a dit qu'ils avaient une maison à Merei avec une seule chamber,où vivaient 14 personnes-ses 8 enfants,trois grands-fils,son mari,et sa belle-fille.La principale source du revenue c'est l'argent que le père apporte.on doit dire aussi qu'il n-a un lieu de travail stable,mais il travaile d'un jour à l'autre.Quand nous l'avons demandé si'ils gagnaient d'argent d'une autre parte,la mere ne s'est pas gêner de nous dire que les enfants etaient obliges de mendier est cette chose se passé dès les enfants ont une anné.À l'école allait seulement Adrian-l'enfant de 7 ans-mais il ne savait ni écrire,même pas dire une poésie.Sa mère nous a avoué que le raison pour lequel son enfant allait à l'école,c'était pour reçevoir l'allocation.On doit ajouter une seule