La quete d'alexandre
Premièrement, les saisons au Nouvel-Ontario n’étaient pas toujours celles dont les immigrants ou les nouveaux-arrivés étaient habituées. Les étés étaient beaucoup plus chaudes mais beacoup plus courtes! Il y avait “deux semaines d’été” (p52) dans ce pays: “la dernière de juin et la première de juillet. Après ça, meme par une journée chaude il peut s’élever tout à coup un petit vent frisquet du nord. Et dès le mois d’aoút, on risque les gelées blanches. Le dicton c’est neuf mois d’hiver. trois mois de mauvais temps.” (p52) Ceci rendaient le temps des moissons très limités et parfois très difficiles. En plus de la temperature chaude de ces quelques semaines, les pionniers devaient endurer les insectes nuisants. Les gens dans cette région devaient vraiment apprendre “a fumer la pipe. Dans ce pays, c’est une nécessité pour se defender des maringouins, mouches noires, taons a chevreuils et autres bestioles qui abondent.” (p61) Ces insectes n’étaient pas dangereuses mais rendaient les travaux en pleines airs beaucoup moins plaisants. Lorsque les temps chauds tiraients sur la fin et que c’était le temps de faires les récoltes, la température devenait souvent menacente. Les pionniers travaillaient souvent “sous les averses et les rafales de neige, les mains rouges et gercées.”(p.182) Les moissons finis ou non, l’hiver arrivait souvent avec fureur que les gens y soient prets ou non. “ Quand les vents s’élevaient, c’était a couper le souffle et chaque respiration devenait une longue brulure. Rose avait parfois l’impression que la Mort s’était installée a demeure, guettant la maison, guettant la