LA PUBLICITE
Pour atteindre ses objectifs de communication (donc en terme de notoriété, de connaissance, de changement d'attitude, d'élimination des freins, d'idées de nouvelles situations d'usage, etc.), l'annonceur doit tenir compte de son produit, et de la perception qu'ont les consommateurs de ce produit. Afin de concevoir une stratégie de communication, on va distinguer 2 caractéristiques :
Un niveau d'implication.
- fort (comme la voiture ou la parfum)
- faible (comme les petits pois ou les bonbons)
La dominance du mode de réaction (traitement de l'information)
- cognitif ("thinking")
- sensoriel ("feeling")
Matrice stratégique FCB de Vaughn (1975)
Les objectifs de campagne publicitaire sont déterminées par le département marketing et communication de l'entreprise qui devront déterminer les médias qui serviront de support à la diffusion du message en fonction de leur adéquation à satisfaire à la stratégie de communication de l'entreprise. Chaque média offre en effet des avantages et des inconvénients reconnus par la profession.
Internet s'avère une technique complémentaire aux médias traditionnels : l'annonceur ne pourra se satisfaire d'une communication exclusivement axée sur Internet. En revanche, il offrira à l'annonceur une base de données analysable afin de le diriger dans ses actions. Sa maléabilité, son ciblage, son interactivité sont des gages de son efficacité.
Comprendre les mécanismes de perception
I. La communication à effet directement.
Béhaviorisme : Watson, Pavlov et AI.
Le béhaviorisme est un comportement des êtres vivants en réponse à des stimulis.
Stimulus observable => Réponse comportementale (observable)
Béhaviorisme = psychothérapeutes à la recherche de traitements pour les troubles du comportement, une recherche intéressante pour le marketing et la communication car on sait alors comment provoquer un comportement précis via un stimulus. a) Comportement associé à un stimulus.