La précarité des jeunes
Une des raisons principales de cette précarité est tout d’abbord des etudes plus longues et un marché de l’emploi de plus en plus saturé : Les jeunes font plus d’etudes mais il y a moins de de perspectives par rapport à la génération parentale .
Ensuite on voit que la tanche des 18 – 25 ans est une poche de vunérabilité sociale , un véritable « angle mort » de la politique sociale. C’est une tranche de la population qui est soumise à un probleme d’insertion et parfois même de dépendance envers les parents.
Les conséquences de cette précarité sont frappantes . Ainsi , selon l’INSEE , 45 % des pauvres ont moins de 25 ans . Pour la première fois en temps de paix , une génération risque de vivre moins bien que la génération précedente .
C’est par exemple avoir des parents qui occupaient un emploi d’encadrement et se retrouver cantonné à un emploi d’exécution sans grande perspectives de mobilité.
Ainsi , les jeunes enchainent les periodes de stage ou les postes intérimaires . Leurs salaires à l’embauche fondent et ce sont eux qui sont les premiers à être mis à la porte des entreprises .
8 jeunes sur 10 estiment que la crise est inquiétante et grave . Alors , la jeunesse serait-elle la grande victime de cette crise ? On observe en effet que la dégradation de la situation économique est appelée à avoir des incidences importantes sur les conditions de vie des jeunes , en matière de chômage et d’éducation. Par exemple , Le taux de chômage des moins de 25 ans s'établissait en janvier dernier dans la zone euro à 16,9 %, soit plus du double du niveau de chômage de la population active.
Ainsi , la crise à exacerbé les difficultés et les tensions.
Les perspectives d’avenir pour les jeunes sont ainsi plutôt