La promenade du dimanche georges michel
Deux actes : 1 on va au cinéma 2 on rentre du cinéma. Contexte : guerre civile.
Tout commence avec un sifflement qui gène les parents, une notion de bienséance et maintient de influences aristocratiques. Fils qui a du mal à maintenir les leçons inculqués. Jeune puce en voie de domestication. Jeune qui n’est pas complètement lobotomisé. Control social. « Qu’est ce qu’on va penser de toi » La parole parentale est subordonné à un jugement social. « Ce que JE dis dépend de ce qu’ON va juger » importance des pronoms.
Les coups de feu et la mort du grand père, contraste entre les deux situations, le sifflement indignation parentale, et de l’autre côté la mort du Grand père et qui interrompt très brièvement malgré la puissance de l’événement. Vérification clinique de la mort, sans aucune évocation d’affecte, t’étonnement ou d’affliction. Il consiste juste à vérifier le décès du grand père. Pas de doute, pas d’incertitude. « une balle perdue se sont des choses qui arrivent » façon d’escamoter le scandale, mise à distance pour le spectateur. Enigme de cette mort brutale est très facilement répondu, pas de questionnement par rapport aux raisons du décès. Extrait de toute forme de conceptualisation et de questionnement
Les hommes en noirs qui viennent chercher le grand père intrusion des entités qui gênent encore plus le spectateur, au lieu des services funèbres il y a une méthode de balayage de la rue, apparence de régularité à ce qui ne l’est pas. Dénégation de la réalité par le geste, par la parole ce qui renforce encore plus le scandale. La mort ne fait pas drame, ne fait pas péripétie et la promenade reprend sans y avoir une réaction de ce qu’on peut espérer de la société à laquelle on en appartient. Ce sont les femmes qui s’y mettent aux commentaires faussement explicatifs. Enumération des faits banales et intégration de la mort du grand père. Il dégrade l’événement du décès. Le grand père est déshumanisé,